Le crédit à la consommation peut se définir comme un contrat où une certaine somme d’argent est mis à disposition d’un emprunteur. Cette somme d’argent devra être remboursé dans un délai imparti avec un taux d’intérêt à payer en plus.

Crédit à la consommation

Le crédit conso se divise en 2 types :

Le crédit affecté, qui sert à financer un bien défini comme une voiture par exemple. Le taux d’intérêt varie généralement entre 4,5% et 9%. Le crédit non-affecté, ici l’emprunteur est libre de disposer de la somme comme bon lui semble. Il n’est pas obligé de justifier la raison de ce prêt, mais généralement la somme est destinée à effectuer de petits achats ou pour manque de liquidités.

Le crédit non-affecté se subdivise lui-même en 2 catégories :

Un LOA ou location avec option d’achat. Ici l’organisme prêteur met à disposition de l’emprunteur une somme que ce dernier peut en partie ou en totalité utiliser. L’intérêt du crédit dépend alors du montant consommé. Les taux pour un LOA sont plus élevés et varient entre 14% et 22%.

Un crédit personnel ou prêt personnel. Aucun justificatif n’est requis pour pouvoir disposer de ce prêt. Les conditions de prêts tels que la durée, le taux et les mensualités sont définis au moment de la signature du contrat. Sachez tout de même que plus la durée du remboursement est courte, moins élevée sera le taux d’intérêt. Ce taux est généralement compris entre 4,5% et 9% mais dépend également des garanties de l’emprunteur, notamment ses revenus.

A savoir que les crédits à la conso ne sont pas destinés aux entreprises, par exemple une société ne peut pas demander ce prêt pour acheter une voiture de fonction. On ne peut pas aussi demander un crédit à la conso pour acheter un bien immobilier comme une maison ou un terrain.

La somme d’argent que l’on peut soutirer d’un crédit à la consommation va de 200 euros, au minimum, à 75.000 euros au maximum.

Risque de surendettement

Lorsque l’on obtient un crédit à la consommation, on dispose d’une somme d’argent sans avoir à attendre d’économiser. C’est un moyen facile d’obtenir de l’argent, et cette facilité peut parfois mener au surendettement.

Pour cela, le gouvernement a mis en place des mesures afin de protéger l’emprunteur et ses intérêts.

En effet un crédits à la consommation est soumis au code de la consommation (articles L311-1). Cette loi fixe certaines règles à la conclusion du contrat pour protéger l’emprunteur. Cette réforme a permis de mettre en place des mesures tels que :

Un temps de réflexion de 15 jours où le potentiel emprunteur dispose de ce délai pour accepter ou non l’offre de crédit proposé par l’organisme prêteur.Un délai de rétraction de 14 jours où vous pouvez revenir sur la signature du contrat de crédit à la consommation Un encadré récapitulatif dans le contrat de crédit. Cette mesure contraint l’organisme emprunteur à bien faire comprendre au potentiel emprunteur le contrat qu’il est sur le point de signer, à éclaircir tous les termes de cet accord.

Les crédits qui bénéficient de ces dispositions protectrices sont :

Les prêts visant à financer des besoins non-professionnels, c’est-à-dire qui n’entre pas dans le cadre des activités commerciales. Les prêts pour financer l’achat de biens de consommation tels que des meubles, des voyages.

Ces prêts ont un montant inférieur à 75.000 euros. Cependant pour un prêt supérieur à 75.000 euros, l’emprunteur et le prêteur peuvent se mettre d’accord pour appliquer ou non les dispositifs de protection.

Se guider en ligne

De manière générale, les banques sont les lieux habituels pour souscrire un crédit à la consommation. Mais on peut aussi en souscrire dans des établissements spécialisés.

Afin de vous permettre de faire le choix de l’organisme prêteur, allez sur internet. La plupart de ces organismes ont un site où ils affichent leur taux pour chaque type de crédit. Vous pouvez consulter leurs sites un à un et comparer vous-même les taux. Mais vous pouvez aussi vous épargner cette peine. En effet plusieurs sites regroupent ces informations et comparent les taux de chaque organisme pour vous suggérer le meilleur possible. De plus les modalités de remboursement pour chaque organisme sont précisées sur ces sites comparateurs et ils mettent souvent à votre disposition un simulateur de crédit. Ces simulateurs de crédit en ligne vous permettent de calculer vos revenus mensuels et le coût de votre potentiel futur crédit à la consommation. C’est très important avant de faire une demande de prêt.

Dans la vie, il peut arriver que l’on se retrouve face à des situations imprévues. C’est parfois le cas des personnes qui héritent de la voiture d’un proche, après son décès. En quoi consiste réellement l’héritage d’un véhicule ? Dans cet article, nous vous donnons quelques clés pour mieux comprendre cette situation, et savoir comment réagir si vous y êtes confronté.

Hériter d’un véhicule

Passé les moments difficiles, liés à la perte d’un être cher, les proches doivent souvent vite se plonger dans des notions plus administratives. C’est notamment le cas, en ce qui concerne la succession de la personne décédée. Selon ce qui a été décidé de son vivant, ses biens peuvent être confiés à une ou plusieurs personnes. Dans le cas de l’héritage d’un véhicule, elles ont plusieurs choix : conserver la voiture, vendre ou donner l’automobile, la faire détruire à la casse. Mais alors, quelle réglementation doit être respectée dans cette situation ?  Voici nos réponses.

Je souhaite conserver le véhicule

Si vous êtes l’héritier d’une voiture, vous pouvez la conserver. Seulement, pour rouler en toute légalité sur la voie publique, vous devrez régulariser sa situation administrative, auprès des services préfectoraux. Les différentes démarches à entreprendre, dépendent du statut de la personne à qui l’on a légué le véhicule.

Le véhicule est légué à l’épou(x)(se) survivant

Si vous étiez marié(e) à la personne décédée, la voiture dont vous avez hérité peut-être mise à votre nom. Pour cela, vous devez faire une demande de modification de la carte grise. Attention, selon votre régime marital, la démarche diffère. 

L’héritier du véhicule n’est pas l’époux survivant

Dans ce cas, soit vous êtes le seul héritier de la voiture, et vous pouvez donc entreprendre la démarche de changement de nom sur la carte grise, en toute simplicité. Soit vous êtes plusieurs héritiers, dans cette situation, les autres prétendants à la succession, doivent rédiger des lettres de désistement. Dans leur courrier, ils indiquent se désister en votre faveur, pour que vous puissiez demander l’immatriculation de la voiture, à votre nom.

La co-titularité de la voiture

S’il existe plusieurs héritiers, ils peuvent être co-titulaires de la carte grise. Ils devront donc ensemble, faire la démarche de changement de noms sur la carte grise. Vous devrez fournir un justificatif pour prouver votre statut d’héritier légitime. Plus d’infos sur ce blog.

Je souhaite donner, vendre ou détruire le véhicule

Si vous ne souhaitez pas conserver la voiture dont vous avez hérité, vous pouvez envisager de la vendre, la donner ou la détruire. Dans ce cas, différentes réglementations existent.

Dans le cas d’une vente ou d’un don : 

     Si le décès a eu lieu, il y a moins de trois mois, vous pouvez mettre en vente la voiture ou la donner. Vous devez procéder à la télédéclaration sur Internet, lorsque vous aurez trouvé preneur.

     Si votre proche est parti, il y a plus de trois mois, et que vous avez circulé avec la voiture entre temps, vous avez pour obligation de mettre la carte grise à votre nom. Cette démarche doit d’ailleurs être réalisée, avant même d’utiliser le véhicule.

     Si la voiture n’a pas été mise en circulation, depuis le décès, vous pouvez la vendre ou la donner, sans changer le nom sur la carte grise, au préalable.

Dans le cas d’une destruction :

     Vous n’êtes pas tenu de modifier la carte grise, si vous souhaitez détruire le véhicule. Dans ce cas, rendez-vous simplement dans un centre Véhicule Hors d’Usage (VHU), agréé par l’Etat. 

Peu importe que le loueur soit un particulier ou un professionnel, la location d’un véhicule pour un déplacement professionnel, des vacances ou un week-end soulève toujours la question de l’assurance. En effet, souscrire une assurance franchise location voiture, donne accès à une protection pour couvrir les dommages causés en cas de sinistre. Dorénavant, il est possible de choisir parmi plusieurs offres d’assurances en ligne.

Les conditions relatives aux offres d’assurances en ligne pour véhicules de location 

Généralement, en situation de vol ou préjudice sur la voiture de location, que le conducteur soit responsable ou non, avec ou sans tiers identifiés, les assureurs remboursent la franchise qui est fracturée par le loueur. Outre, elle propose des garanties pour assurer le souscripteur et les conducteurs secondaires qui figurent sur le contrat de location. Néanmoins, ils doivent être légalement autorisés à conduire une automobile de location. Avec certains assureurs, ces conducteurs additionnels doivent avoir entre 21 et 85 ans pour pouvoir être couverts par leur assurance location voiture. La plupart du temps, un contrat de location peut inclure une assurance en cas de préjudices matériels sur le véhicule de location. Mais, le conducteur ou le locataire doit prendre en charge une somme forfaitaire élevé en cas de dommage sur la voiture. Le loueur lui vend certaines protections afin de réduire le montant de celle-ci. Pourtant, ça peut coûter très cher et exclure quelques risques fréquents (bas de caisse, pare-brise, pneus …). Ainsi, il convient d’opter pour le rachat de franchise location voiture. Cette option donne l’occasion de bénéficier d’une réduction de la franchise. Il peut être question de rachat de franchise intégral (c’est-à-dire que l’assuré n’aura aucun frais à payer en cas de sinistre) ou de rachat de franchise partiel (c’est-à-dire que la somme forfaitaire est diminuée). Cliquez sur serenitrip.fr pour en savoir plus.

Quelle formule d’assurance choisir pour une voiture de location ?

En général, chaque conducteur est légalement obligé de souscrire une assurance de base. Il doit contracter une assurance responsabilité civile ou au tiers. En effet, un contrat de location renferme la plupart du temps cette assurance obligatoire. Elle se matérialise par la présence de la vignette verte sur le pare-brise de la voiture. Mais, cette assurance au tiers est insuffisante car elle ne couvre que les préjudices causés aux tiers. Alors, il est indispensable de choisir des assurances complémentaires pour couvrir les dommages causés à la voiture de location ou aux passagers. Ensuite, pour pouvoir racheter totalement la franchise appliquée lors d’un sinistre dont le conducteur est responsable, souscrire une assurance dommages s’avère être une excellente alternative. Celle-ci propose un  rachat de franchise pour le vol. Il est aussi possible de choisir une garantie vols des biens personnels et dommages aux personnes. Cette assurance peut couvrir le conducteur et les passagers. Il est préférable de sélectionner une garantie PTC si le souscripteur cherche à bénéficier d’une protection contre le vandalisme et le vol.

Comment  choisir les meilleures garanties pour voitures de location ?

Quel que soit le propriétaire de la voiture de location, la conduite sur la voie publique doit obligatoirement être couverte. Si un conducteur a seulement son permis de conduire et qu’il pense à louer une voiture, il doit être titulaire d’un contrat d’assurance voiture de location. De manière générale, un contrat d’assurance d’un loueur de voitures ne prévoit qu’une assurance au tiers. Cette assurance responsabilité civile peut servir à couvrir  les dommages matériels et éventuels préjudices corporels dans le cadre d’un accident responsable. Mais, elle ne couvre pas les préjudices que le conducteur pourra subir lui-même. Mais, il est possible de souscrire une assurance au tiers plus. Celle-ci peut constituer un excellent compromis entre l’assurance tous risques et l’assurance obligatoire. Il est question d’une assurance responsabilité civile qui se renforce par des garanties complémentaires. Elle peut protéger le conducteur de voiture de location en cas d’incendie, vol ou préjudices causés au véhicule par une tierce personne. Désormais, parmi les meilleures offres d’assurances en ligne, un souscripteur peut choisir une assurance tous risques. Cette dernière offre une protection suffisante et une couverture plus étendue. Seulement, en contractant une assurance voiture location, il faut vérifier si la voiture louée ne fait pas partie des exclusions. En plus, une limitation géographique est parfois prévue au contrat. Celle-ci est à prendre en compte.  

Conseils pour trouver une meilleure assurance en ligne pour louer une voiture à l’étranger

Il n’est pas évident de choisir une meilleure assurance location voiture a l’etranger. Le souscripteur a besoin d’examiner les conditions du contrat d’assurance avant de mettre sa signature sur ce contrat de location de véhicule à l’étranger. Parfois, louer une automobile à l’étranger avec une carte bancaire constitue une option avantageuse. Cela donne l’occasion de bénéficier de quelques garanties telles que le vol, la panne du véhicule, l’assurance au tiers et les dommages subis. Pourtant, les franchises peuvent être très élevées et les indemnisations peuvent être plafonnées. Le souscripteur a besoin  de prendre des renseignements auprès d’un établissement bancaire en vue de découvrir toutes les garanties proposées avec sa carte bancaire. Par la suite, pour augmenter la couverture et faire baisser le montant des franchises, le souscripteur peut choisir des garanties complémentaires. Pour assurer le conducteur et les passagers de la voiture de location, il convient d’opter pour  la garantie PAI (Personnal Accident Insurance) ou PI (Personnal Insurance). Cette assurance peut proposer une indemnisation forfaitaire en situation de préjudices corporels durant la période de location de l’automobile. Pour couvrir les préjudices sur la voiture de location, il est préférable de souscrire une assurance CDW (Collision Damage Waiver). Celle-ci peut permettre de réduire le montant de la franchise en cas de sinistre. Pour la garantie TP (Theft Protection) également appelée TW (Theft Waiver) ou TPC (Theft Protection Collision), elle offre une protection contre  contre le vol.

Après avoir passé une longue journée de travail, vous pensez rentrer paisiblement chez vous. Mais, arriver au lieu où vous avez garé votre véhicule le matin, surprise ! Votre voiture n’y est plus, en plus, elle est introuvable. Là, c’est la panique totale, alors, plusieurs questions se tournent dans votre tête. Est-ce que la voiture a été volée ou a été déplacée ou a été mise en fourrière ? Alors, pour répondre à toutes vos questions, voici quelques astuces pour vérifier la présence de votre auto dans une fourrière à Lyon.

Contacter toutes les fourrières à Lyon

Pour commencer votre recherche, le mieux est de contacter une par une toutes les fourrières municipales à Lyon. Cela vous permettra d’avoir le cœur net concernant votre auto. Là au moins, vous aurez la réponse à toutes vos questions en ne voyant pas votre voiture là où vous l’avez garée.

Mais, pour ne pas vous perdre parmi les numéros, vous devez cocher ou rayer celle que vous avez déjà appelée. Vous devez alors établir une liste de contact de la fourrière à Lyon afin d’effectuer votre vérification plus rapidement et plus aisément. Alors, pour faciliter votre recherche, vous devez alors contacter une fourrière à Lyon.

Les contacter vous permettra de gagner un peu plus de temps lors de votre prospection, du fait que vous n’avez pas à vous déplacer. Appelez-les à l’endroit même où vous avez mis votre voiture afin de bien les expliquer votre cas. En plus, cela vous permettra de donner des détails précis concernant l’emplacement de l’auto avant qu’elle disparaisse.

Faire le porte-à-porte de chaque fourrière

Dès que vous constatez que votre voiture n’est plus garée là où vous l’avez garée, faites rapidement votre recherche. Pour cela, vous pouvez la chercher en faisan porte-à-porte de la fourrière de chaque recoin de la ville.

Effectuez vos recherches avec cette méthode vous prendra sûrement plus de temps. Mais, cela vous permettra de vérifier vous-même si votre auto y est vraiment ou non. En plus, vous aurez tout juste les démarches à suivre une fois que vous avez retrouvé votre véhicule.

Mais, pour que votre vérification soit plus rapide, commencez à voir la fourrière la plus proche de l’endroit où vous avez casé votre véhicule. Cette décision vous aidera dans vos recherches évidemment, car cela est plutôt une question de logique. En effet, il est probable que c’est la fourrière du coin qui a enlevé votre voiture lors de son inspection.

Vous pouvez continuer vos recherches, s’il n’y est pas aux alentours. Cependant, commencez toujours par le plus prêt. C’est assez logique que ce soit la fourrières la plus proche qui a confisqué votre voiture.  

Faire appel aux autorités de la route

Pour que votre recherche soit plus concrète, pensez à demander de l’aide aux autorités supérieures. Leur aide vous sera plus précieuse lors de votre recherche et de votre vérification. En plus, leur confier le travail vous évitera de vous déplacer d’un endroit à l’autre pour vérifier si votre voiture est vraiment chez une fourrière.

Dès qu’ils ont localisé votre voiture, tous les processus à suivre pour la libération du véhicule en fourrière seront à votre charge. Donc, leur aide est bien utile si vous voulez à tout prix retrouver rapidement votre véhicule.

En outre, ils pourront aussi vous fournir plusieurs indices concernant votre voiture à l’aide de leur contact et de leur expérience. En effet, retrouver l’emplacement de votre véhicule ne serait pas un problème pour eux avec leur expérience dans le domaine. Alors, faites-en confiance aux autorités et responsables de la route.

Ainsi, pour trouver votre voiture plus facilement, le mieux est de faire appel aux responsables de la sécurité routière. Ils vous seront utiles, car ils ont tous les moyens et tous les contacts pour effectuer la recherche.

Localiser la voiture en GPS

À part cela, il existe aussi un autre moyen de vérifier la présence ou non de votre voiture à la fourrière. Au lieu de vous déplacer et d’appeler qui que ce soit, pensez d’abord à la localiser à l’aide de votre GPS (géo-positionnement par satellite).

Cela vous permettra de trouver votre véhicule plus facilement et plus rapidement, alors, pensez-y. Avec l’aide de ce GPS, vous n’avez qu’à lancer le navigateur afin de vous y amener jusqu’à votre auto.

Utiliser un GPS pour vérifier la présence d’une automobile dans une fourrière est toujours très pratique. Simple d’utilisation et accessible à tous, le GPS est le plus choisi. Alors, pour voir si votre véhicule est bel et bien dans l’une de la fourrière à Lyon, le mieux est d’utiliser cet appareil.

Ainsi, pour ne pas rencontrer divers problèmes concernant la localisation de votre voiture, pensez à y installer une balise GPS. Alors, vous devez équiper votre auto de ce système afin de la localiser à tout le moment de la journée.

Un véhicule est un investissement conséquent auquel on ne peut pas toujours se soustraire : très utile voire indispensable dans la vie de tous les jours, il est important, pour des raisons évidentes de sécurité, qu’il soit en bon état. Cependant, les voitures en bon état et correspondant à nos besoins ne sont pas toujours dans notre budget ! Dans ce cas, on peut avoir recours à un prêt automobile, mais comment fonctionne ce service ?

Qu’est-ce qu’un prêt automobile ?

Le crédit auto vous permet d’emprunter de l’argent à un organisme prêteur, souvent une banque, afin de financer l’achat d’un véhicule neuf ou d’occasion. L’argent de ce prêt est exclusivement destiné à l’acquisition d’un véhicule, c’est pourquoi des documents spécifiques vous sont demandés. Il existe autant de formules que de banques, il est donc essentiel de comparer les différentes offres pour choisir la plus avantageuse, en termes de TAEG mais aussi de mensualités. Souvent, ces organismes sont aussi assureurs, vous permettant d’assurer votre véhicule nouvellement acquis rapidement et facilement.
Grâce à ce type de prêt, vous êtes couvert si vous ne recevez pas votre véhicule, auquel cas le prêt est tout simplement annulé. Dans l’autre sens, si le prêt ne vous est pas accordé, alors le contrat de vente est annulé. C’est donc une sécurité supplémentaire par rapport à un autre type de prêt, par exemple un prêt à la consommation. Avec ce type de prêt, vous pouvez également souscrire à une assurance prêt auto. Cette assurance permet à votre entourage d’être protégé si vous n’êtes plus en mesure de régler vos mensualités, par exemple en cas de perte d’autonomie, de licenciement au cours d’un CDI, ou de décès, car elle prend en charge le paiement de vos mensualités ou du solde de votre prêt.
Ces prêts sont bien souvent assez flexibles, avec des frais de dossier réduits, souvent sans apport, la possibilité de moduler le remboursement de vos mensualités et proposant des prêts de longue durée si besoin. Vous n’avez aucune obligation de choisir le contrat d’assurance proposé par votre organisme prêteur : vous pouvez souscrire à cette assurance chez un assureur si les garanties proposées sont plus intéressantes.

Comment y souscrire ?

Il est conseillé de définir le montant de sa mensualité ainsi que la durée du prêt envisagée pour estimer votre capital et savoir vers quel type de véhicule vous pouvez vous tourner pour ensuite démarrer vos recherches. Vous devrez par la suite constituer votre dossier. L’organisme prêteur vous demandera plusieurs pièces, notamment un justificatif d’achat afin de s’assurer que les fonds vont effectivement à l’acquisition d’une voiture, mais aussi un justificatif de revenus, le montant de vos charges fixes afin de calculer votre taux d’endettement, ainsi que toutes les informations classiques liées à votre identité. Si vous avez du mal à définir votre capacité de remboursement, alors votre conseiller peut vous y aider en faisant avec vous le point sur vos finances. Vous y verrez ainsi plus clair quant au budget que vous pouvez allouer à votre achat sans prendre de risques.

Les erreurs à ne pas faire

Choisir un prêt sur une durée plus courte réduira les intérêts et frais liés au prêt, mais les mensualités seront plus élevées : il vaut toujours mieux se laisser un peu de marge avec des mensualités moins lourdes que de prendre le risque de se mettre dans l’embarras. Bien entendu, il faut choisir le véhicule à acquérir avec soin et adapter son prêt en conséquences : il serait dommage de s’engager sur 36 mois pour payer une voiture que vous devrez remplacer peu après avoir fini de la payer, voire avant !
Si vous n’avez pas de CDI, ne vous découragez pas : en présentant des relevés de compte attestant de votre stabilité financière et un taux d’endettement bas, vous pouvez accéder à un prêt même en étant en CDD ou en période d’essai.

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